Pas si innocentes que ça! (Terminé)

Il y a plusieurs jours que Zyler est arriver dans ce monde plein de vie.

Mais au fur et à mesure il fini par atteindre une zone forestière bien plus dense que la précédente.

Après plusieurs heure de marche il arriva à une cabane, a côte de laquelle se trouver un humain qui ne semble pas l'avoir vue.

Et il décida de l'interpelé.

Mortel dit moi dans quel monde je suis tombé !

L'homme ne lui répondit pas se qui énerva Zyler qui un fois au niveau de ce dernière le saisi  à la gorge, avant de le claqué contre l'une des parois de la cabane et réitéra ça question.

Dans quel monde je suis tombé ! RÉPOND OU JE TE BUTE !

Il y a de cela quelques minutes, le ciel semblait clément malgré quelques sombres nuages parmi lesquels se filtraient les rayons du soleil. Le matin s’était levé depuis quelques heures et Rush marchait de son habituelle allure enjouée, d’une démarche chaloupée presque féminine, pourtant, le torse bombé et son fourreau bien accroché à sa taille, l’on devinait avec aisance son côté belliqueux et masculin, les branches et les feuilles craquaient sous ses bruits de pas assurés alors qu’il cherchait son chemin à travers cette forêt qu’il n’avait jamais eu l’occasion d’explorer depuis son arrivée sur ce mystérieux continent. Voyant la pluie se déchainer, le garçon talonna sa monture pour que sa jument accélère et se mette au galop, dans le but de chercher un endroit sous lequel s’abriter, avant de reprendre la route forestière pour rejoindre une ville où il devait contacter son prochain employeur.

Cabane à l’horizon, le garçon descendit de sa monture et l’attacha à un bouleau. Alerté par une noix forte et en colère et par une seconde plus timorée, Rush pu comprendre qu’il se passait quelque chose d’étrange dans cette cabane, peut-être une bagarre. Dans ce genre de situation, le jeune homme au cœur tendre ne pouvait que rentrer dans la petite maison en bois afin de se mêler de ce qui ne lui regardait pas.

« Je ne sais pas qui vous êtes, mais la violence n’est pas la solution à vos problèmes ! Nous sommes dans le continent d’Efinea, l’inconnu. Je me présente, Rush Sykes et vous, vous êtes qui ? »

Terminait-elle d’une voix calme et mâture pour un jeune homme de son âge. Il avait vécus moultes aventures et ce n’était pas une petite dispute entre deux hommes qui l’effrayerait. Le bandit répondit, un peu soulager de voir un second inconnu débarquer chez lui. Il soupira avant de faire tinter sa voix.

« On m’appelle Ralof ! Ecoutez, je ne sais pas ce que vous voulez, mais je n’ai rien de valeur ici ! Je cherche juste de l’aide moi ! Si vous voulez je vous payerez avec le peu que j’ai ! S’il vous plait. »

Rush regarda l’étrange créature, avant de lui balancer.

« J’ai répondu à ta question, tu pourrais le lâcher ? »

Puis il se dirigea vers l’homme.

« Je suis prêt à t’aider. »

« Cela fait quelques jours que des créatures font du bruit pendant la nuit, autour de ma cabane ! J’ai demandé de l’aide pour que quelqu’un les chasse ! Je n’en peux plus de ne plus pouvoir dormir ! Je vais brûler toutes cette forêt si vous ne m’aidez pas ! »

Rush sourit en le prenant par l’épaule, comme un ami ! Il tapote le crâne de l’homme de sa main droite et répondit amicalement.

« T’inquiète Ralof ! Je vais t’aider moi ! Tu as ma parole ! »

Puis le mercenaire se tourna vers la créature.

« Tu veux en être l’ami ?! »

Zyler n'y comprenait rien, car pour lui c'est la première fois qu'un mortel ose lui parle de la sorte.

Et ce qui l’embarrassé le plus est qu'il n'a aucune envie d'occire le jeune homme.

Il relâcha doucement la gorge de Ralof avant de lui demander.

<< Dit Ralof ces bestioles on des âmes ? >>

<< J'en sais rien pourquoi ? >>

A ces mots Zyler lui Rétorqua avec d'un calme plutôt sinistre.

<< Sinon je devrais t'arracher la tienne de ton cadavre. >>

Et Zyler pivota lentement sa tète vers le jeune mercenaire en rigolant, avant de lui répondre.

<< Oh mortel ça fais trop longtemps que j'ai rien butter, et l'idée d'un petit génocide n'est pas pour me déplaire gamin. Mais je veux vraiment sont âme ! >>

Après ces mots Zyler enfonça sa lame impie dans le ventre de Ralof, avant de le trancher de part en part ce qui fit gicler le sang contre la parois, quelque instant plus tard de sa lame émana comme des murmures inaudibles ainsi suivie d'une lueur verdâtre  arraché de la dépouille de Ralof avant de lui avoué.

<< Là d’où je viens, les mortel me craigne tous comme la mort. Mais toi tu n'as nullement l'air terrifier. Alors je te souhaite de pas recroisé mon chemin mortel ou tu risquerais d'étancher la soif de Dévoreuse d'âmes! >>

Et Zyler partie juste après ses paroles en quête de nouveaux carnages.