L'argent sale n'achète pas la clémence (Avec Yotsuyu)[Terminé]

Quel état pitoyable, celui dans lequel était ce pays... Pas étonnant qu'un homme comme la proie de Havoc se soit réfugié ici. Aucun mal à trouver des gangs ou des groupes de brigands prêts à tout pour toucher de quoi vivre... Les informations recueillies pointaient du doigt une petite ville de ce malheureux pays. Et les étrangers semblaient avoir la plus grande méfiance envers les étrangers, dans le coin. Tous ceux qui le croisaient lui adressaient des regards fort peu amènes. Mais il s'en moquait. Il n'avait qu'une chose en tête : retrouver ce traître et l’exécuter, purement et simplement. Tous ceux qui chercheraient à lui faire obstacles seraient considérés comme complices et subiraient le même sort. Il n'avait pas l'intention de réfléchir ou de se poser des questions, cet homme s'était collé l'étiquette d'esclavagiste et Havoc haïssait cette engeance au-delà de toute mesure, cette haine provoquant généralement des conséquences disproportionnées dont il se moquait éperdument...

A l'approche de la ville, son regard devenait de plus en plus sombre. L'envie de tuer se lisait comme un livre ouvert dans ses yeux. Les rares passants s'écartaient à son approche, généralement terrifiés par cette faucheuse en armure noire. Les deux gardes à l'entrée de la ville rassemblèrent assez de courage pour lui barrer la route et s'enquérir de la raison de sa venue... Et ce fut la dernière chose qu'ils firent de leur vivant car Havoc fit surgir ses Griffes de Panthères de ses poings et les égorgea tous les deux dans un seul mouvement, un quatuor de griffes planté dans chaque nuque. Le Commandeur retira ensuite ses griffes d'un coup sec des cadavres et les écarta de sa route sous les regards médusés et effrayés des quelques badauds présents dans la zone. Sa proie attendait, il n'avait rien à faire d'eux...

Dans les rues, les gens s'assuraient de rester loin de lui, ce qui lui facilitait la progression. Au moins, il n'avait pas à les écarter de sa route. Il allait ou son instinct le guidait, et son assurance prit de l'ampleur en entendant des clairons. L'on faisait une déclaration sur la grande place, un peu plus loin. Havoc s'y rendit et reconnut celui qu'il recherchait dés qu'il déboucha de la rue qu'il avait emprunté pour arriver sur la place : là, sur une estrade à côté de celui qui semblait diriger la ville, se tenait un homme dont les habits se démarquaient bien par leur état impeccable et leur allure loin d'être médiévale... Vincenzo da Marizia, un fonctionnaire qui avait toujours fait campagne contre les réformes égalitaires de Havoc et grand convaincu de la "supériorité" de la race humaine et de la justesse de l'esclavage... Un salopard de raciste, aux yeux du Commandeur.

Le bourgmestre était actuellement en train de louer les efforts dudit fonctionnaire, qui promettait tous les fonds nécessaires à la rénovation et à l'expansion de la ville. En échange de quoi, il n'osait pas le déclarer ouvertement, bien sûr... Sans plus attendre, Havoc avança droit vers l'estrade, écartant les gens sur son passage avant que le remue-ménage ne pousse les gens à se retourner et à s'écarter d'eux-même. Comme un brise-glace fendant une banquise, le commandeur avança à travers la foule jusqu'à l'estrade, stoppant net le bourgmestre qui fut surpris par la chose.

"M-mais... ? Qui donc est-ce... ?" Demanda-t-il d'une voix tordue par une certaine inquiétude face à l'allure menaçante du commandeur.
"Un infâme meurtrier que je ne connaît, malheureusement, que trop bien." Répondit en premier Vincenzo. "Un dénommé Havoc, tueur de masse, criminel de guerre et notoire assassin à la solde d'une nation qui cherche à s'étendre sur ce monde. Je crains qu'il ne vienne ici pour...
-Laissez parler, langue de vipère ! Je viens ici pour vous éviter de causer le même malheur que vous n'avez causé par le passé sur Ventralis. Et vous savez qu'il n'y a qu'une solution à cela.
-Allons, Havoc. Les lois du Pacte ne s'appliquent pas ici. L'Alpha respecte cet état de fait, vous le savez aussi bien que moi, sinon mieux... Ne vous a-t-elle pas inculqué quelques leçons de civilités sur l'oreiller ?"

Les poings du soldat en noir se crispèrent. Ce genre de sous-entendus lui soulevaient le coeur. Certes, les rumeurs allaient bon train selon lesquelles l'Alpha et lui étaient secrètement amoureux, amants ou autres, mais il détestait qu'on les lui crache ainsi à la figure... A croire que sa loyauté envers Elle n'était due qu'à cela. Furieux, il planta son regard dans celui de Vincenzo.

"Une loi est universelle, Vinenzo, même ici : celle de la Force." Dit-il en sortant le Blazing Tyrant de son étui, provoquant des murmures de peur dans la foule et un net écartement de celle-ci autour de lui.

"Vous voyez ?" Reprit Vincenzo en s'adressant au bourgmestre. "Il est venu pour répandre la mort, si vous le laissez faire !"
Le bourgmestre était livide, pâle comme un linge. Il se voyait déjà dans une boîte.

"A la garde !! Arrêtez cet homme, vite !!" Hurla-t-il dans sa terreur, un doigt accusateur pointé vers Havoc, espérant mettre un maximum d'obstacles entre lui et cette faucheuse en armure.

Tous les hommes d'armes à portée de cris se précipitaient vers la place tandis qu'on répétait l'appel dans les rues et ceux déjà présents se pressaient devant Havoc, formant un mur de lances et d'épées. Ils avaient peur, mais étaient prêts à se battre pour leur ville. Respectable, mais futile...

"Vous condamnez ceux que vous mettez entre moi et vous, Vincenzo..." Commenta Havoc en s'emparant de sa hache, Garmundan. Le sang allait couler à grands flots avant que la justice ne soit rendue...

Yotsuyu s'était enfin vengé et un poids semblait tomber de ses épaules en pouvant enfin commencer sa vie même si elle avait du sang sur les mains en étant les pires ordures qui soient donc leur mort était plutôt bénéfique et la jeune fille qui avait subit le même sort qu'elle pourra vivre libre mais hélas elle n'avait pas de famille donc elle risquait de se retrouver en orphelinat à moins de trouver une famille aimante qui voudrait bien s'occuper d'elle ? Le temps le dira et en attendant il était temps de quitter les lieux avant qu'on ne les prennent sur les faits.

Des jours avaient passé depuis l'assassinat de sa famille et la jeune femme était désormais une criminelle recherchée car hélas ces bourreaux étaient protégés par l'Empire qui laissait faire  ce genre de traitement aux enfants achetés ou vendus à un tiers  se fichant de leur traitement.

Il était temps que ce pays change et que le peuple se soulève, quand se réveillera t-il de l’oppression qu'ils subissent depuis des années par l'Empire en acceptant même l’esclavage et la maltraitance ?

Nul le savait et pour l'instant Yotsuyu ne pouvait se dire appartenir à Doma tant que c'était ainsi en réfutant tout cela et elle avait encore du sang sur les vêtements vu que la ville était grande en n'ayant pas pu sortir de celle-ci tellement elle était bien gardé ou pas car non loin de la place des bruits d'affrontement se fit entendre comme si un combat avait lieu et la jeune femme hésita à se rapprocher de la source du bruit en étant une fugitive en ayant laissé sa monture dans un autre port qui lui aurait bien aider pour parcourir de longues distances.

Havoc n'avait pas attendu ni cherché d'alternatives avant de se jeter dans le combat : tous ceux qui lui faisaient obstacle étaient complices. Et sa justice, ou il était à la fois juge et bourreau, n'appliquait qu'un seul verdict : la mort. Comme un fauve sautant sur sa proie, il avait sauté sur l'homme d'arme se trouvant droit devant lui. Le garde avait levé son épée pour bloquer une attaque, mais sa garde était trop haut, dirigée pour parer un coup venant du dessus, pas le violent coup de talon que le Commandeur lui décocha droit dans le sternum, brisant ce dernier, tout en pivotant latéralement sur lui-même en plein air, le large tranchant de sa hache décrivant un arc-de-cercle vers le côté pour frapper un autre homme d'arme à gauche de sa première victime. Ce tournoiement aerien le fit retomber sur ses pieds en faisant face à sa position initiale, position qu'il utilisa pour bloquer la hallebarde de son voisin immédiat de droite lorsque celui-ci tenta de l'embrocher. Plus rapide que ce dernier, Havoc rectifia son mouvement pour lui envoyer le sommet de sa hache en plein visage. Dans un "crac" sinistre, l'oreille de la tête de loup fracassa la tempe du soldat, le tuant quasi-instantanément.

Les autres commençaient à réagir après le moment de surprise passé. Ils refermaient le noeud autour du Commandeur. Mais ce dernier ne resta pas immobile et tout en déviant un coup de lance qui lui était destiné, il sauta de côté et effectua une roulade pour s'éloigner du groupe qui lui faisait obstacle. Tout juste rétablis, il dut se cabrer pour éviter une autre hallebarde, venue de son côté gauche qui passa très près de lui entailler le dos et réagit avec la vitesse d'un chat, se redressant sur ses jambes en utilisant le creux intérieur du tranchant de sa hache pour faire chuter son agresseur. Le temps de se relever et de lui faire face, ce dernier... ou plutôt cette dernière, était déjà un genou à terre, à mi-chemin de se relever. Mais Havoc était plus rapide et pointa son large pistolet à triple canon vers le front de la jeune femme. Son uniforme était légèrement plus décoré. Officier, peut-être ? Caporal ou sergent, au mieux, au vu des insignes plutôt modestes. De plus, elle semblait jeune... Très jeune, à peine adulte. Et avec la baïonnette de l'arme du Commandeur qui lui chatouillait le nez, elle était paralysée par la peur, trouvant à peine le courage de lever des yeux implorants vers lui... mais le regard qui croisa le sien était froid comme la glace alors que le Jägdpanther appuyait sur la détente.

Les autres arrivaient dans son dos, et le commandeur fit volte-face, déviant une lance de sa petite gunblade avant de répliquer à l'attaque d'un coup de hache qui fendit le torse du garde le plus proche. Les autres eurent droit à une volée de balles quand le commandeur vida son chargeur sur eux. Aucun ne survécut aux balles lourdes de 9mm tirées à si courte distance. La voie vers Vincenzo était momentanément ouverte alors que d'autres hommes d'armes accouraient sur la place, à contre-sens des civils qui fuyaient en tout sens à l'exception des plus courageux qui restaient pour voir l'affrontement depuis une distance raisonnable. Havoc s'engouffra dans la brèche, parcourant la distance entre lui et l'estrade en quelques enjambées avant de grimper dessus avec l'agilité d'un félin. Le bourgmestre était livide, la servante cachée derrière lui, tétanisée d'horreur et Vincenzo, un peu plus en arrière, cherchait activement une échappatoire.

"Il est temps pour vous de rendre justice à tous les Miatas et Barans que vous avec exploité dans vos mines... et vos lupanars.
-Exploités ?" Répondit défensivement Vincenzo. "Tout d'abord, c'était mon droit, ils m'appartenaient ! Ensuite, ils avaient un toit sous lequel dormir et à manger tous les jours. Je ne voit pas ou j'ai mal fait.
-Si vous refusez de l'admettre..." Commença le commandeur en levant son pistolet vers sa cible. "... Je laisse la Faucheuse vous l'expliquer quand vous serez dans l'autre monde."

Au moment ou il allait tirer, un vieux milicien arrivé sur l'estrade abattit son épée sur l'avant-bras du commandeur. L'épaisse armure stoppa net le tranchant de l'arme, mais son bras fut brutalement dévié et Vincenzo en profita pour s'enfuir. Havoc, furieux, brisa le menton de son assaillant d'un coup de coude avant de virevolter, lui séparant net la tête des épaules d'un coup de hache. Une victime de plus, mais sa proie courait toujours...

"Courez autant que vous voulez, Vincenzo, vous ne m'échapperez pas aujourd'hui !"

Dans sa furie meurtrière, il n'avait absolument par remarqué le visage dans la foule qui lui était familier.

Yotsuyu ne s'était pas trop approcher du combat pour ne pas être découverte mais vu finalement que les soldats avaient leur attention sur un seul homme qui semblait s'en débarrasser sans problème que  ça la fit quelque peu approcher pour distinguer ce qui se passer réellement mais aussi les conversations qui se faisaient entendre malgré les coups d'aciers qui raisonnaient sur la place .

La population paniqua et bon nombre de civils fuirent à toutes jambes que la domienne fut un peu bousculée mais personne ne prêta attention à cette criminelle qui avait encore le sang  sur ses habits de ses dernières victimes qui l'avaient plus ou moins mérités en vue
des atrocités qu'elles avaient fait de leur vivant.

Il y eut des mouvements vers l'estrade où la vente des esclaves se faisaient habituellement mais pas ce jour là car un certain Vincenzo semblait vouloir fuir celui qui réclamer vengeance dont la voix était familière pour Yotsuyu  et sa grosse armure ne faisait aucun doute à son ancien sauveur qui lui avait sorti de sa vie d'esclavage en tuant celui qui comptait la vendre à un tiers.

Évidemment, Vincenzo chercha à prendre la fuite en quittant la scène et ce qu'il ne savait pas c'est que la jeune femme était dernière celui-ci en lui faisant un croche pied qui le fit rouler au sol, sans hésiter Yosuyu ne laissa pas l'homme se relever en tenant son poignard prête à mettre fin à  cette ordure qui n'était pas mieux que sa famille qu'elle avait tué de ses propres mains.

Vincenzo continuait sa fuite désespérée alors que Havoc avançait implacablement vers lui. Tous ceux qui s'approchaient de la machine à tuer en armure noire étaient tués d'un violent coup de hache. Aucun de ces hommes d'armes à l'entraînement dérisoire comparé à celui du Commandeur n'avaient la moindre chance contre lui. Ses attaques étaient trop rapides, trop brutales... Et le fuyard vit sa course interrompue par un croc-en-jambes. Avant même de comprendre ce qui venait de lui arriver, il était déjà sous la menace d'un poignard. Face à lui, écartant un septième milicien tout juste occis, le soldat en noir s'approchait, changeant le chargeur de son arme de poing, son pas lent et lourd de menaces le rapprochant inexorablement de lui.

"Que... que faites-vous ??" Bégaya-t-il à l'attention de la femme qui l'avait arrêté tout en pointant un doigt accusateur vers Havoc. "C'est cet homme qu'il faut stopper !! Il a massacré sa propre famille ! Trahi par deux fois les nations auxquelles il avait fait serment d'allégeance ! Assassiné ses frères d'armes ! Il n'est pas digne de confiance, ce n'est qu'un meurtrier, un fou furieux ! Il vous tuera, vous aussi !!
-Vous semblez étrangement bien renseigné, da Marizia." Commença le commandeur. "Certains de ces détails ne ressortent pas exactement du domaine public.
-J'étais déjà un dignitaire, que vous n'étiez que de la piétaille dans les rangs de Korvana ! J'étais assez près pour entendre le coup de feu quand vous avez assassiné Bartholomew II lors des pourparlers de paix ! Lorsque vous avez tenté de condamner notre pays... !
-Alors vous êtes doublement ciblé par ma colère, petite crevure..." Coupa Havoc en attrapant l'homme d'état renégat par le col, le soulevant à bout de bras. Son ton, d'abord lourd de menaçes, se faisant de plus en plus dur et colérique. "Vous faites partie de ceux qui ont envoyé le capitaine Shining contre moi. Qui m'ont forcé à tuer la seule femme que j'aie jamais aimé !
-Vous auriez dû simplement vous rendre. Et de toute manière, une bête sauvage ne sait rien des sentiments.
-Ca, c'est certain !!"

Sans plus de cérémonies, Havoc projeta Vincenzo dans les poutres soutenant l'estrade, plusieurs se brisant, de même que quelques os du sinistre esclavagiste. Incapable de bouger, ce dernier ne put rien faire quand le commandeur saisit un petit cylindre métallique pendu à sa ceinture.

"Ca, c'est pour Rain, salopard."

L'instant suivant, Havoc jetait le cylindre sur la construction en bois, une explosion de flammes accompagnant l'impact. Une grenade incendiaire, emportée tout spécialement pour cette exécution. L'estrade prit feu et les flammes se répandirent alors que la victime de Havoc hurlait de douleur, dévoré par les flammes. Impassible, l'exécuteur regardait fixement mourir sa proie, sa victime, un de ceux dont il avait attendu si longtemps la mort. Autour d'eux, l'assistance avait assisté médusée, impuissante, à ce jugement expéditif. Lorsque les cris se turent, le Commandeur tourna lentement la tête vers Yotsuyu, qu'il avait clairement reconnu mais négligé jusque là, poussé par sa soif de sang.

"J'apprécie votre intervention. Mais j'aurais préféré vous retrouver dans d'autres circonstances."

Par prudence, il omit de prononcer son nom. Ses vêtements couverts de sang indiquaient bien qu'elle-même devait revenir de quelque règlement de compte. Elle avait évoqué des projets de ce genre à Bulk Station...

"Vos actes... sont ignobles !" Interpella une voix à un jet de pierres d'eux. Ce gros lard avait eu le temps d'échapper au bûcher improvisé, donc... "Ce meurtre sera considéré comme un acte de guerre ! Vous et votre complice subirez les conséquences de vos actes !"

Il n'avait pas l'air de plaisanter, le sac à corruption. S'il savait seulement dans quoi il s'embarquait, le fou... Mais Havoc dût faire avec le fait qu'une vingtaine d'hommes d'armes, s'étant ressaisis, formaient un cercle autour d'eux. En venir à bout serait faisable pour lui seul, mais Yotsuyu n'étaient peut-être pas autant capable d'en affronter autant.

"Oh, ta gueule !" Cria-t-il en pointant son pistolet vers le bourgmestre de la ville.

Une pression de détente plus tard et ce qui passait pour un maire dans cette ville minable s'écroulait au sol, le torse perforé par trois balles. Pas instantané, mais il n'en avait plus que pour une minute ou deux. Plutôt que de risquer la vie de la jeune femme, le Commandeur adopta ensuite une attitude plus tactique et, attrapant sans prévenir la jeune femme par la taille de son bras droit, il tendis le gauche vers le beffroi de la ville et activa son lance-grappin. La mâchoire métallique alla se planter dans une poutre de la tour de l'hôtel de ville et le soldat en noir se laissa entraîner par la puissante poulie à traction de son gantelet, tenant fermement sa "complice" contre lui.

Finissant les dix derniers mètres en courant à la verticale sur le mur, le commandeur rappela le grappin à lui, profitant de l'élan pour effectuer un large arc-de-cercle aérien et atterrir un peu plus loin sur un toit plat voisin, passant le bras gauche sous les genoux de Yotsuyu pour la maintenir fermement et usant de ses améliorations pour encaisser l'atterrissage brutal. Il lâcha ensuite celle qui était, pour la deuxième fois, sa protégée pour la laisser marcher par elle-même.

"Ca va être folklorique de sortir de cette ville. Cela dit, tant que je prends le rôle du fer de lance, ça ne devrais pas être trop dur. Qu'en pensez-vous , Yotsuyu ?"

Yotsuyu était prête à mettre fin à la vie de l'esclavagiste quand celui-ci lui rétorqua des choses de la vie privé  du commandeur Havoc comme quoi il avait assassiné  sa famille,  la jeune femme avait fait une chose similaire après tout et elle ne le regrettait pour aucune façon.

« Peu importe ce qu'il a fait, il m'a sauvé de personne dans ton genre prêt à mettre en esclavage de pauvres personnes. J'ai bien assassiné ma propre famille et j'en suis fière pour les ordures que c'étaient. »

La domienne  regarda d'une manière  mauvaise l'indivu prête à l'achever de sa lame quand le commandeur Havoc intervint en prenant l'homme par le col et le balançant contre les poutres de l'estrade tout en incendiant l'endroit pour que ce vil personnage meurt dans d’atroces souffrances.  

Bien entendu ça ne plus pas aux autorités  qui les avaient vite encerclés prêts à les  exécuter sur place car une vingtaine d'homme sera trop pour Yotsuyu même si elle savait se battre, elle pourrait peut être tuer la moitié et encore mais avant qu'elle ne cherche à comment ils pouvaient s'en sortir voilà qu'elle se fait agripper et à plusieurs mètres du sol avant d'être posé sur le toit d'une maison.  La jeune femme regarda l'étrange appareil qui ressembler à ce que les voleurs utilisaient, si sa mémoire était bonne cela s'appelait un grappin et bien pratique pour les tirer d'une situation plutôt dangereuse ou sans issue.

« Merci, je vous dois une fière chandelle, je connais cette  ville par cœur, je vais te guider pour qu'on puisse se retrouver à l'extérieur mais de manière  discrète ce qui ne sera pas aisé avec  votre armure en tout cas vous serez mon garde  du corps face à nos ennemis qui nous barrons la route. »

Yotsuyu avança prudemment sur le toit et elle regardait de tout côté pour repérer d'éventuels archers qui pourraient se cacher pour les cueillir de leurs flèches vu que les soldats impériaux étaient sur tout les fronts.

Elle était reconnaissante. Certes, dans la mêlée qui a failli se refermer sur eux deux minutes auparavant, les chances de survie de Yotsuyu n'étaient pas formidables... Mais le Commandeur considérait que ça faisait partie du boulot. On ne laisse personne derrière. Et il l'avait pas tirée des griffes des esclavagistes ou il l'avait trouvée des semaines auparavant pour la laisser dans le pétrin comme ça. 'Faut pas être idiot, non plus. De plus, elle connaissait manifestement mieux la ville que lui, et pouvait donc les guider vers la sortie. De toute façon, si l'idée suicidaire de l'autre gros ahuri précédemment plombé devait faire le tour de ce royaume en lambeaux, il n'y aurait bientôt plus de ville du tout ici. Une guerre ? Eux, contre le Pacte de Diamant ? Havoc avait fait tomber des nations cinq fois plus puissantes en l'espace de deux semaines. Mais cela restait hypothétique. Pour l'heure, il fallait surtout qu'il en sorte.

Les premières minutes du parcours furent assez peu mouvementées. Les seules difficultés étant qu'il était le seul à pouvoir franchir les espaces d'un toit à l'autre au-dessus des rues grâce à sa musculature inhumainement puissante, l'obligeant à attraper Yotsuyu -et donc de ranger ses armes- pour la faire passer avec lui. La garde, au sol et mal organisée, peinait à garder le rythme, alors pour ce qui était de les rattraper... Sur un toit voisin, un archer tenta de prendre position, mais deux volées du pistolet, rapidement dégainé, du Commandeur suffirent pour qu'au moins une balle le touche et l'envoie faire le grand saut. Si ça continuait ainsi, ils allaient très bien s'en sortir : les limites de la ville étaient en vue. Encore quelques centaines de mètres et ils étaient tirés d'affaires.

Mais au détour d'un coin de mur, ils furent stoppés par un groupe de cinq hommes d'armes qui les attendaient et qui n'étaient peut-être pas seuls. Trois lances, un arc et... un autre avec une épée et qui semblait différends, en meilleure forme... Même l'uniforme était différend. Havoc n'en eut cure sur le coup et chargea dans le tas, négligeant de sortir ses armes. L'homme à l'épée fut attrapé par la gorge par le soldat amélioré avant d'avoir le temps de porter un coup et entraîné par un élan irrésistible, décrivant un arc-de-cercle qui l'envoya s'écraser le dos dans une cheminée qui se brisa sous le choc. Les trois lanciers tentèrent conjointement de l'empaler, mais le commandeur fut plus rapide et tomba à 4 pattes, passant sous les lances et attrapant les chevilles de deux des hommes qu'il tira brutalement en l'air en se redressant, les envoyant au sol. Le troisième tenta de le frapper avec la hampe de sa lance, mais son geste fut arrêté quand il attrapa également l'arme, d'une poigne beaucoup plus puissante.

L'archer tenta de le viser à ce moment-là, ne lui laissant qu'une seconde pour réagir. Habitué au pugilat, Havoc écarta le possesseur originel de la lance d'un violent coup de tête, particulièrement sonore en lui adressant un agressif "Donne-moi ça, toi !" et utilisa le mouvement de balancier initié par son brusque élan vers l'avant pour sortir de la trajectoire de la flèche qui passa en sifflant à quelques centimètres de son torse. Pivotant sur lui-même, Havoc tourna sur lui-même, donnant de l'élan à sa nouvelle arme avant de la projeter vers l'archer qui fut transpercé de part en part, tituba sous le choc jusqu'au bord du toit et tomba en hurlant dans le vide. Un des deux hommes qu'il avait envoyé au sol, s'étant relevé, passa sa lance devant la gorge du commandeur pour tenter de l'étrangler. Une courte lutte s'engagea alors que les deux autres se remettaient de leur choc et il savait qu'il devait reprendre l'ascendant.

"Je fait l'aller-retour, je suis à vous tout de suite !" fut la phrase qu'il lança aux deux hommes avant d'attraper les bras de son adversaire direct et de se jeter dans le vide à son tour, l'entraînant avec lui, arrachant un cri de terreur à ce dernier. D'abord ahuris par ses paroles, les deux hommes eurent un moment de stupéfaction avant de s'approcher du bord pour tenter de vérifier s'il s'était bien écrasé au sol. Comme Yotsuyu n'était pas armée, ils n'avaient pas peur qu'elle s'en prenne à eux... Ils n'aperçurent en contrebas que les corps de leurs deux malheureux camarades et se retournèrent vers la jeune femme, n'ayant manifestement pas l'intention de négocier leur demande de réparation pour les morts causées. Mais après avoir fait trois pas, ils s’arrêtèrent net quand une voix venant de derrière eux les interpella, leur glaçant le sang.

"Mauvaise idée."

Ayant à nouveau utilisé son lance-grappin, cette fois pour arrêter sa chute, Havoc avait laissé chuter son adversaire et utilisé la gouttière comme rail d'accroche pour contourner le toit et revenir par l'arrière. Lorsque les deux hommes se retournèrent vers lui, avec la tête de crédules pensant avoir affaire à un spectre, Havoc leur bondit dessus comme un fauve, faisant surgir ses Griffes de Panthères de ses poings fermés et les transpercer tous les deux, un quatuor de lames holograhiques dans la cage thoracique de chacun et les écrasant au sol par la force de son saut d'attaque.

Laissant les deux corps, le commandeur se releva en s'adressant à Yotsuyu.

"Vous êtes indemne ?"

Il se retourna ensuite vers l'homme à l'uniforme différends qui se tordait de douleur au sol en gémissant, le dos brisé.

"Et celui-là ? Il est pas d'ici, je me trompe ? "

La jeune femme en avait bavé pour arrivée jusqu'ici et accomplir sa vengeance qui la soulageait d'un poids mais elle sera  débarrassée de toute souffrance même si les images de son passé resterons encrés en elle en avançant malgré tout.

Les deux compères fuirent la ville loin de tous ennemis  qui voulaient les arrêter et le commandeur Havoc fit le ménage sans aucune difficulté même les deux soldats qui avaient voulu s'en prendre à Yotsuyu la croyant non armée s'en mordirent les doigts en trépassant rapidement par son protecteur.

« Merci, je vais bien et non aucunes blessures car j'étais loin de toutes attaques sur ma personne. »

La domienne regarda l'homme en uniforme que lui indiqua le commandeur Havoc qui était  différent de son pays natale et qui ne venait pas de chez eux en étant complètement  étranger.

« Non, il n'est pas de nos contrées car il ne porte en aucun  cas l'uniforme de l'armée impérial ni d'un haut gradé qui est plus dans les ton blancs, rouge ou doré. »

Yotsuyu se demandait bien qui était cet homme qui devait bien travailler pour Intel mais qui ?  

Les interrogations devront se poser dans un lieu sûre car des renforts pourraient arriver,  il était temps de quitter la ville et  de prendre un navire pour retourner à l'endroit où elle avait laissé  son oiseau en ne voulant pas le laisser là bas mais après elle ne saurait où aller en n'ayant pas vraiment de patrie.

Inconnu au bataillon, celui-là, donc ? Problème résolu. Pour Havoc, il n'était pas question de s'interroger d'avantages. Comme le disait son code personnel : "Tous ceux qui constituent un obstacle passent à la morgue". Levant son pistolet, il acheva l'homme à terre d'une balle.

"Si on ne sait pas d'ou il viens, il ne sert à rien." Conclut-il.

Tournant ensuite son regard vers les autres toits, il aperçut que de nombreux autres hommes d'armes se rassemblaient aux alentours pour refermer le piège sur eux. La partie allait être très serrée, d'autant que les portes de la ville semblaient encore lointaines. Cependant, l'errance de son regard le guida vers un précieux ticket de sortie qui se présentait : un carrosse ouvert qui passait non loin. Il allait s'en emparer.

"Attendez-moi, je reviens tout de suite. Quand je passerais dans la rue avec cet attelage, sautez à l'arrière ! On ira plus vite là-dedans !" Indiqua-t-il à Yotsuyu. Ce n'était pas la plus confortable des solutions, mais le saut était humainement réalisable.

Ensuite, reculant un peu pour prendre de l'élan, Havoc s'élanca à grandes enjambées vers le bord du toit et s'élança dans le vide, usant de son lance-grappin de poignet pour s'accrocher à une cheminée plus loin, décrivant un arc-de-cercle au-dessus des rues et décrochant le grappin à bonne distance, ce qui le fit retomber droit vers le carrosse. Un des deux nobles à bord lui servit de piste d'atterrissage et fut tué sur le coup, écrasé par le poids du commandant couplé à son élan, puis balancé dans la rue. L'autre n'eut que le temps de prononcer un "Qu'est-ce que... ?" outré avant d'avoir la gorge ouverte d'un coup de la lame-baïonnette du Blazing Tyrant et d'être jeté, agonisant, hors du carrosse. Havoc ne se souciait pas de savoir à qui il empruntait l'attelage : à ses yeux, tous les nobles de cette ville était aussi crasseux (au sens figuré) les uns que les autres et méritaient la mort pour une raison ou une autre.

Le conducteur, en se retournant, fut à son tour confronté à la lame du Commandeur, présentée juste devant son visage.

"Descend, l'ami. Ce véhicule est réquisitionné."

Le ton du sinistre tueur en armure noire était sans équivoque : il ne demandait ni ne négociait pas. Il exigeait. Sans attendre, le cocher sauta du banc du conducteur et Havoc y prit place, dirigeant l'attelage vers le bâtiment ou Yotsuyu attendait alors que les miliciens prenaient le carrosse en chasse. Il donna un petit coup sur les rennes pour ralentir au moment de passer sous le toit et laisser de la marge à la jeune femme, puis fit reprendre de la vitesse aux deux chevaux dés qu'il l'entendit atterrir derrière lui. La poursuite allait être rude et la moindre perte de temps pouvait signifier une catastrophe.

"Vous savez vous servir de ça ?" Demanda Havoc en envoyant son pistolet, préalablement rechargé, par-dessus son épaule sur le siège des passagers. "Libre à vous de tirer tant que vous avez des munitions. Je l'ai passé en mode semi-automatique pour que le recul ne vous bousille pas le poignet ! Avertissez-moi quand il tombe à court, que je vous envoie un chargeur !"

Dans la course, un cavalier audacieux arriva à sauter sur le banc du conducteur depuis la selle de son cheval et abattit son fauchon vers Havoc. L'armure encaissa le choc et ce dernier, habitué à improviser, attrapa la dague de son assaillant dans son fourreau et l'utilisa pour lui transpercer la gorge. Un problème de moins, et même une aide lorsque, apercevant un arbalétrier le prendre en joue et tirer depuis une arche qui enjambait la rue qu'il parcourait à toute vitesse, il pu utiliser l'homme agonisant comme bouclier humain pour se protéger du carreau qui lui était destiné. Réagissant au quart de tour, il ne prit qu'un court instant pour viser, en priant l'Alpha que son mouvement soit bien ajusté, avant de lancer puissamment son couteau vers le tireur.

Le lancer fut précis. Touché en plein torse, le tireur bascula en arrière et s'écrasa entre les deux bancs du carrosse au moment ou ce dernier passait sous l'arche. C'était voulu car Havoc récupéra l'arbalète et le carquois avant de repousser le cadavre hors de son véhicule. Il avait désormais de quoi tirer, lui aussi. Et les portes de la ville se rapprochaient...

Yotsuyu était restée sur le toit, alors que son protecteur alla cherchait de quoi les sortir de là en volant à carrosse et la jeune femme se faisait rapidement acculé par les hommes sur le toit qui s'approchaient de plus en plus d'elle. La domienne n'était pas loin du rebord et heureusement pour elle, l'attelage était juste en dessous et elle se retourna malgré le danger des soldats en étant dos à à eux, puis pris de l'élan pour sauter pile derrière sans se louper.

« Juste à temps même si un peu plus et je ne m'en saurais pas sortis... »

La jeune femme prit l'arme à feu et hocha du positif en se disant que ça devait avoir le même principe qu'une arquebuse et elle mit en joue les soldats qui les avaient prit en chasse en appuyant sur la détente même si au début ce fut maladroit en n'étant pas habitué, elle fit tout de même pas mal de victimes dans leurs ennemis.

Les portes de la villes étaient proches, plus que quelque mètre et ils seront en terrain neutre où il pourront sans doute semer leur poursuivant même si beaucoup de zones étaient occupées par l'Empire en étant désormais tout les deux des criminels hautement recherchés dont Yotsuyu était dans l'immédiat plus la bienvenue à Doma même si elle ne s'était jamais sentie chez elle que ça ne lui faisait ni chaud ni froid de quitter son pays natale.

Ils s'en sortaient bien. Plus que quelques mètres. Et Yotsuyu visait drôlement bien. Presque chaque tir coûtait la vie à un de leurs poursuivants. Havoc sentis une certaine fierté l'envahir. Il avait bien fait de la libérer, ce jour-là. C'était une femme de tempérament et très capable... Et à chacune de leurs rencontres, elle lui réservait des surprises. Dés que le chargeur fût vide, ce qu'il entendit au bruit caractéristique de la libération du chargeur, il en balança un autre par-dessus son épaule de la main droite.

"Remplacez le boîtier qui vient de tomber hors de la poignée par celui-là !"

Les rênes de l'attelage fermement serrées dans la main gauche, la crosse de l'arbalète coincée sous l'aisselle du même bras, il entrepris alors de la recharger. Une fois un nouveau carreau placé, il pris l'arme de la main droite pour ajuster une lancière à cheval qui les rattrapait par le côté gauche. Celle-ci reçut le carreau au travers de la gorge et chuta de sa monture. Une flèche se brisa contre la large épaulière droite du Commandeur qui redirigea son tir suivant vers l'archer qui en était à l'origine. Ce dernier eut le crâne perforé et chuta du tas de caisses sur lequel il avait pris position. Enfin, le carrosse franchit la porte extérieure dont la lourde herse, défaillante, ne put être baissée pour les arrêter. Poursuivis par les cris et quelques projectiles maladroits qui se plantaient tout autour d'eux ou dans le bois de leur véhicule, ils filèrent comme une flèche le long de la route avant que Havoc ne fasse s’arrêter les chevaux à plus de deux kilomètres de la ville.

"Débarrassons-nous de ça ici. Les traces de roue d'un chariot seront trop visibles..." Commença Havoc en descendant et en détachant les chevaux de leur véhicule. "Prenons chacun un cheval et laissons ça là pour brouiller les pistes. Si vous vous sentez de vous débrouiller seule à partir d'ici, on peux se séparer. Sinon, vous pouvez toujours m'accompagner. Je rentre à Bulk Station et vous savez que vous êtes toujours la bienvenue là-bas, Yotsuyu."

Laissant à la jeune femme le cheval qui semblait en meilleure forme et plus robuste, Havoc enfourcha l'autre, se préparant à partir. La décision de Yotsuyu n'appartenait qu'à elle et tout ce qu'il attendait, c'était de récupérer son arme avant de se mettre en route. Il avait réglé ses comptes avec un vieil ennemi, mais d'autres affrontements l'attendaient ailleurs...

Yotsuyu était plutôt une bonne tireuse vu le massacre qu'elle faisait avec une arme à feu en laissant aucune chance à leurs poursuivants , en même temps dans ce pays, la plus part des gens savaient utiliser ce genre d'arme assez tôt en étant monnaie courante même si ça ressemblait plus à des arquebuse japonaise.

Le duo avait enfin semé le reste de leurs ennemis en laissant plusieurs cadavres derrières eux, désormais ils étaient considérés comme des criminels et recherchés morts ou vifs en n'ayant plus leur place à Doma même si la jeune femme s'en foutait catégoriquement.

La domienne qui ne se sentait pas l'être à cause de la mentalité du pays qui ne changeait pas et enfourcha sa monture sans hésiter mais quelle sera sa décision ?

Pour l'instant, la jeune femme suivit le commandeur Havoc jusqu'à partir de ce pays mais elle s'arrêta en chemin en lui disant son envie de l'accompagner mais aussi d'aller chercher le chocobo qu'elle avait laissé à un port, un peu plus loin en s'étant attaché à elle.

« Je viens avec toi mais avant, on pourrait aller chercher mon chocobo, au port bien avant celui de Doma, c'est un oiseau jaune proche des autruches et parfaitement dressé pour être montait. »

En attendant sa réponse,  Yotsuyu fit partir son cheval au galop en suivant son ami.