Agent Karen Lim, matricule 03133615 au rapport.

(Pas de grande image. Je n'ai que celle de l'avatar. Désolé.)

Nom: Karen Lim

Provenance de l'avatar: Song Euni de Closers

Age: 25 ans

Date de Naissance: 11 Septembre

Race: Humaine

Groupe Sanguin: AB+

Taille: 1m40

Poids: 40kg (Plus avec tout son équipement)

Orientation sexuelle: Pansexuel

Activité: Agent de police (Pour Tesseha'lla)

Description physique: Karen est une femme adulte ayant une apparence d'enfant. Du à se petite taille elle doit souvent présenter sa carte d'identité pour consommer les boissons alcoolisés ou aller voir des films interdits aux mineurs. Elle arbore une coupe simple et courte par praticité de couleur brune. Allant de pair avec ses grands yeux ronds, il est rare de la voir triste. Elle arbore souvent un sourire, une expression calme ou encore la colère. Lorsqu'elle n'est pas en service, elle porte des survêtements gris sans motif d'une simplicité déconcertante. Préférant son confort à la beauté. Sinon, elle porte sa tenue de police sur laquelle elle ajoute son gilet tactique en cas de mission demandant une force de frappe conséquente. Elle n'a pas de réel signe distinctif et se fond dans la masse sans sa tenue de police.
Malgré sa faible apparence, elle n'en est pas pour le moins agile et endurante. Même si la force pure lui fait défaut, elle reste un agent s’entraînant régulièrement et sait parfaitement se défendre au corps-à-corps.

Arme(s): (Fournies par la police)
-Mitraillette de police : Utilisée lors des opérations de grande envergure ou dangereuses. Cette arme à feu est capable de tirer des balles réelles ou des salves paralysantes.
-Tonfa de police : Un tonfa en fer téléscopique.

Arte: Aucun arte

Personnalité: Karen est une personne ayant une forte croyance en la justice et son travail. Elle a pour le moment une foi absolu en les dires de ses supérieurs et ne refusera jamais un ordre direct. Toutefois, elle semble porter une certaine jalousie et rancœur envers les androïdes employés par Tesseha'lla qui lui volent tout le temps la gloire qu'elle estime dû. Elle porte aussi une haine certaine pour toutes les personnes ne respectant pas les lois établies.
D'un naturel enjoué, elle a du mal à rester calme et s’énerve aisément. Ce qui se traduit bien souvent par frapper du pied sur le sol ou gonfler les joues lorsqu'elle fait face à des têtes rassurantes ou frapper directement la source de sa colère lorsqu'elle fait face à d'horribles personnes. Bien souvent prise pour une enfant, elle déteste cela par dessus tout et envie légèrement les grandes demoiselles avec une certaine grâce.
Lorsqu'elle n'est pas entrain de faire des heures supplémentaires à son travail qui compte plus que tout pour elle, elle passe son temps à préparer ses dossiers ou enquêter sur les problèmes de la ville. Lorsqu'elle arrive réellement à bout, c'est avec plaisir qu'elle rentre chez elle retrouver son vieux chat Arcturus avec qui elle partage sa vie depuis longtemps. Elle ne s'est jamais réellement penché sur ses sentiments amoureux pour le moment, n'ayant trouvé personne pour combler son vide affectif, elle se contente de dormir en prenant son chat dans ses bras ce qui lui vaut bien souvent des coups de griffes.

Histoire:

Le bruit des rechargements de nos armes résonnait dans le fourgon en mouvement ou nous nous trouvions. Je vérifiais en outre que la sécurité de la mienne était bien retirée.

Notre chef se leva alors pour attirer l’attention et s’exprimer.

-”Nous serons arrivés dans exactement trois minutes. Nous avons de nouvelles informations concernant la situation. Une dizaine de civils sont retenus sur dans le hall de l’hôtel de Zaphias. Les deux personnes armées à l’origine de cela semblent déséquilibrés. Jusqu’ici, ils n’ont répondus à aucune de nos demande de négociation. Les têtes pensantes de notre cité voient cela d’un très mauvais œil. C’est une perte financière et de réputation bien trop conséquente. C’est pourquoi nous sommes ici. Vous avez l’autorisation d’ouvrir le feu à vue. N’oubliez pas de régler vos armes sur le mode paralysant. Des questions ?”

Un jeune bleu qui venait d’intégrer les forces de l’ordre leva la main timidement. Son nom devait être quelque chose comme Hector ou Arthur, je ne savais plus. Je n’avais pas eu vraiment le moment de discuter avec lui à dire vrai.

-”M-monsieur ? J’ai une question.”

-”Eh bien parlez Marvin !” Le chef lui hurla dessus, le temps jouait contre nous après tout. Et je me rendais compte que j’avais tout faux sur son nom.

-”Ce n’est pas dangereux pour les civils ? Les terroristes pourraient s'énerver et-” Le chef le coupa en levant la main pour lui faire signe de se taire.

-”Je pense que vous ne comprenez pas. Notre mission est d’éliminer la menace pour que les affaires financières de l'hôtel reprennent. Ecoutez moi tous. Nous sommes les forces de police de Tesseha’lla. Nous ne sommes ni l’armée, ni des héros. Nous ne sommes que des hommes envoyés pour la basse besogne. Si les civils retenus étaient importants, les androïdes seraient à notre place prêts à lancer une expédition sur l’hôtel. Ne perdez pas de vue notre objectif. Nous devons éliminer la menace.”

C’était vrai. Si la mission était d’éliminer. Alors nous ne devions pas prendre en considération le reste. C’était horrible et le reste de l’escouade semblait du même avis que moi car bien vite, le moral chutait. Notre chef soupira en regardant sa montre et posa lentement une main sur l’épaule de la recrue pour la secouer un bon coup.

-”Je n’ai pas dit que nous devions laisser mourir des gens. Ne me faîtes pas mentir. Notre mission est d’avant tout éliminer les cibles. C’est ce que nous devons faire. Cela ne veut pas dire que nous ne pouvons pas faire quelque chose pour les personnes retenues en otage. Si vous voyez une opportunité d’aider les civils, ne vous gênez pas. Mais les ordres sont clairs, nous ne pouvons attendre.”

Marvin ne tarda pas à se ressaisir en hochant la tête vigoureusement.

Nous allions arriver en pleine zone de guerre. Il fallait que tout le monde soit prêt. Le plan était simple, nous en avions discutés lorsque nous nous équipions à la station. Le fourgon ou nous nous trouvions qui ne portait sur lui aucun signe de police allait entrer par la porte principale de l’hôtel. Nous ouvrirons les portes avant d’engager l’ennemi directement. Les descriptions sur les cibles étaient clairs. Deux personnes de taille adulte portant des masques d’ours et armés d’équipements barbares telles des épées et des dagues. Nous n’avions aucune idée de ce qu’ils souhaitaient obtenir en faisant tout ce raffut. C’est pour cela que nous devions essayer de les capturer vivants si nous en avions la possibilité. Dans le cas contraire, nous pouvions les abattre.

Je pouvais sentir mon cœur s’emballer. Ce n’était pas quelque chose que j’appréciais particulièrement. Ce n’était pas de l’excitation, mais de la peur.  Les journées de simple patrouille étaient bien plus reposantes. Evidemment, ce n’était ni la première ni la dernière fois que je serais confrontée à ce genre de situation.

Je n’eus guère le temps d’y penser plus de temps. Le chef chargea son arme d’un coup sec et demanda à tout le monde de s’accrocher. Nous attrapions tous ce que nous avions sous la main pour tenir bon. La tension était palpable. Chaque personne ici était prête et espérait en même temps que le moment du choc serait retarder le plus possible.

Ce ne fût pas le cas.
Le fourgon percuta avec force ce qui semblait être l’entrée de l’hôtel. Mes pieds décollèrent quelques secondes avant de retoucher le sol. Je n’étais pas très lourde mais de là à ce que je m’envole… Nous devions réellement aller à une vitesse importante. J’entendis les pneus crisser sur le carrelage tandis que nous dérapions pour que la porte coulissante fasse face au hall. Dans un cliquetis ordonné, chacun se mit à sa place. Mettant un genou au sol je me collais à la porte et commençait à viser. Je pouvais sentir un autre canon passer au dessus de mon épaule. Le chef ouvrit alors la porte d’un coup de pied en criant à plein poumon.

-”Police Tesseha’llienne, rendez vous ou nous ouvrons le feu !”

Ce n’était évidemment qu’un mensonge pour déstabiliser nos cibles. Toute l’escouade était prête à ouvrir le feu. Nous observions la salle, prêts à tirer à la moindre personne au masque d’ours que nous croiserions.

Au bout de quelques secondes de silence le chef fît signe de rester aux aguets et descendit. Quelque chose clochait. Il y avait bien quelques civils dans le hall aux mains attachés et baillons sur les lèvres. Tous avaient les yeux bandés. Il n’y avait personne d’autre dans la salle. Était-ce une blague ? Un coup monté ? Non, les blessures que portaient les civils étaient bien réelles. Un civil se mit à bouger faiblement.

-”Par pitié… Aidez-moi…” Il s’écroula sur le sol à bout de force.

Rapidement nous réalisions que les civils avaient besoin de soin de toute urgence.

Notre chef s’exprima alors d’une voix clair en baissant son arme.

-”Je veux une zone de confinement. Rien n’entre ni ne sort. Karen, vous appelez les secours. Marvin, vous venez avec moi vérifier le poul de blessés. Les autres vous restez aux aguets. Au boulot.”

Je sursautais légèrement à l’entente de mon prénom. Me redressant en activant la sécurité de mon arme que je laissais pendre en bandoulière devant moi, je prenais la radio dans la poche de mon gilet de protection et m’écartais légèrement du reste de l’escouade pour passer l’appel.

-”Central, ici l’agent de police Karen Lim. Matricule 03133615. Je demande une équipe de secours dans les plus brefs délais pour l’hôtel de Zaphias. Douze personnes sont dans un état précaire. Des blessures importantes peuvent être aperçues. La plupart d’entre eux n’arrivent pas à se mouvoir sans aide.”

Après avoir reçu confirmation du Central, je rangeais ma radio à son emplacement et vint voir mon chef pour lui préciser que le travail était fait.

“Les secours seront là d’une minute à l’autre chef. Il y a des morts ?” Je pouvais sentir dans ma voix une certaine angoisse. Je priais intérieurement pour qu’il n’y ait que des blessés.

-”Non pas de mort. Uniquement des blessés graves. Nous avons pu stabiliser comme nous pouvons les civils, mais s'ils n’obtiennent pas très rapidement des soins requis je risquerais de mentir.”

-”Chef. Je peux vous poser une question ?” Quelque chose n’allait pas. J’avais comme une étrange impression.

-”Vous venez de le faire Karen, mais vous pouvez recommencer.”

-”L’hôtel est gardé sous tous les angles. Nous avons les plans et une équipe surveille déjà toutes les sorties possibles. Ces gens ne se sont pas blessés tous seuls. La menace pourrait se cacher quelque part dans l’hôtel ?”

Il hocha la tête lentement. -”C’est la seule possibilité logique. C’est pour cela que j’ai envoyé quelques personnes ratisser au peigne fin le bâtiment.”

Je ne voulais pas rester les bras croisés. Il fallait que j’agisse aussi. -”Chef ! S’il vous plaît envoyez moi à leur recherche à mon tour. Il y a déjà assez de personnes ici pour s’occuper du périmètre de sécurité. Je serais plus utile dans l’équipe de recherche.”

L’homme qui me dépassait de beaucoup me fixa un moment avant de donner sa réponse. -”C’est moi qui décide de l’endroit où vous serez le plus utile Karen. Ne faîtes pas cette tête là.”

Il secoua la tête devant mes joues gonflées et mon regard ardent. Puis ajouta finalement : “Allez-y. Mais faîtes attention.”

-”Bien chef !”

Après un rapide salut, je me ruais vers les escaliers de l’hôtel en contactant l’équipe en charge des recherches avec ma fidèle radio.

-”Ici l’agent Karen, à destination de l’équipe de recherche. Je suis en route pour me joindre à vos fouilles. Veuillez me donner vos coordonnées dans les plus brefs délais.”

Montant quatre à quatre les escaliers mon arme entre les mains j’attendais leur réponse qui finalement ne tarda pas à venir.

-”Nous couvrons actuellement les étages trois, quatre et cinq. Vous pouvez vous occuper du sixième. Je vous envois quelqu’un.”

-”Bien reçu.” Rangeant de nouveau ma radio, je continuais ma course jusqu’au sixième. Malgré ma petite taille, j’avais pris l’habitude avec les entraînements de pouvoir courir longtemps. Voilà pourquoi je n’étais pas particulièrement fatiguée une fois arrivée. Un homme m’attendait déjà. Je remarquais qu’il s’agissait de la recrue. Il semblait excessivement nerveux.

-”Inutile d’avoir peur. Nous sommes les chasseurs et eux les proies. Souvenez-vous des informations. Ils n’ont pas d’arme à feux. Ce n’est qu’une question de temps avant que nous ne les découvrions.” Je lui tapotais le bras avant de prendre les devants en allumant la lampe sur ma mitraillette.

-”C’est gentil… Mais ça ne me rassure pas. Et si jamais ils nous tendaient un piège ?”

-”Alors nous le déjouerons. C’est notre métier. Hors de question que nous soyons inutile. Nous sommes autant les protecteurs de la ville que les androïdes ou l’armée. J’en ais marre d’être traitée comme une moins que rien, il n’y en a que pour eux !”

-”Eh bien… Ils sont mieux équipés, plus entrainés, plus forts, font des missions plus dangereuses et-” Je le coupais.

-”C’est avec ce genre de mentalité que les forces de police restent insignifiantes. Nous avons fait le serment de protéger nos citoyens. Nous sommes au moins aussi utiles si ce n’est plus !”

Le silence tomba. Je n’étais moi-même pas convaincue par ce que je venais de dire. J’en avais marre d’être traitée de tire-au-flanc alors que je travaillais tous les jours à patrouiller en ville. Mais je n’étais jamais remercié, jamais récompensée. C’était le moment ou jamais de faire en sorte que notre équipe de police fasse parler d’elle. Les secours allaient se charger de récupérer les blessés tandis que nous arrêterons les terroristes. Ce serait une victoire sous tous les plans. Sans aucune perte.

Nous avons passés énormément de temps à fouiller de fond en comble l’immeuble. Jusqu’à la tombée de la nuit. Malheureusement nos recherches s'avéraient bredouilles. Il n’y avait aucune trace de quiconque. Nous nous étions donc rassemblés dans le hall pour en discuter avant de plier bagage. Tout ceci ne me plaisait guère. Je n’arrivais pas à comprendre comment ils s’en étaient tirés.

Le chef était en train de crier sur sa radio. Apparemment, cela déplaisait fortement aux dirigeants de Tesseha’lla de savoir que deux criminels étaient désormais en fuite.


-”C’est pas possible…” Je vins me poser contre le sofa, prenant ma tête entre mes mains je réfléchissais. Je me repassais tous les endroits assez grands ou des humains pouvaient se cacher. Nous les avions tous vérifiés. Tous sans aucune exception… Pourquoi ne pouvais-je pas comprendre ? Il était impossible que nous les ayons ratés…

”Impossible que nous les ayons ratés ?...” Je me mise alors une claque. Comment n’avais-je pas pu le voir plus tôt ? Je me levais bien rapidement pour courir vers le chef.

“Chef ! J’ai besoin d’un renseignement.”

-”Karen, vous devriez passer le temps qu’il nous reste à chercher les deux malins qui ont disparus.”

-”Chef, j’ai peut-être une théorie. J’ai besoin de savoir exactement. Pas en estimation. Combien de personnes étaient retenues ici selon nos informations. Et combien avons nous laissés entre les mains des secours ?”

Son visage passa du perplexe à celui de l’horreur puis de la colère. Il fixa sa radio et coupa sa conversation avec ceux qui lui donnaient des ordres pour contacter le central.

-”Central, ici l’agent Ethan Mcleod. Pas le temps de discuter. Je veux que vous dépêchez sur le champ des troupes qui garderont un œil sur les blessés. … Non je ne veux pas le savoir. Exécution !”

Telle était la seule solution logique. Nous couvrions toutes les entrées, l’hôtel était sous surveillance permanente. Il était impossible que nous les ayons ratés, nous les avons donc forcément vus. Par conséquent, les deux terroristes, ce que nous cherchions ont dû trouver la cachette où nous ne les soupçonnerions pas. Un loup déguisé en agneau. Même si cela semblait grotesque, il s’agissait de la seule solution envisageable. Et si il s’agit de la seule… Alors elle est forcément vrai.

La seule vérité n’était autre que : Les deux terroristes se sont fondus parmi les blessés en laissant derrière eux leurs masques. Si nous prenions le temps de fouiller chaque endroit ou de si petits objets se trouvaient, nul doute que nous finirions par retrouver leurs masques et armes.

Malheureusement, il était déjà trop tard. Ce n’est que le lendemain que nous apprîmes que des douze personnes envoyés aux urgences, seules dix pointèrent à l'hôpital. Deux avaient donc disparues durant le voyage… Deux avaient pu s’enfuir. Tout ce que nous avions fait était inutile. Pour ajouter un poids à notre échec, alors que toute nos troupes étaient regroupées à l'hôtel. Un vol de grande envergure s’était produit au laboratoire Laforte. Comme nos effectifs ne surveillaient pas les sorties de la ville, il était fort probable que tous les criminels aient pu prendre la fuite. Ce n’était là qu’une diversion. Et alors que je pensais pouvoir enfin redorer l’insigne de la police Tesseha’llienne. Ce fût tout le contraire. La police reçu tous les blâmes possibles et imaginables. L’escouade d’élite à laquelle je faisais partie fût démembrée. Et je me retrouvais rapidement à faire de simple patrouille dans mon coin ou à aider la circulation. Parfois, l’on m’envoyait résoudre des problèmes hors de la cité comme une vulgaire mercenaire. Tout ce pourquoi je m’étais battu, instaurer la paix dans la cité, n’avait servi à rien. Les androïdes y arrivaient très bien sans moi. J’aurais pu abandonner bien évidemment et me morfondre dans l’alcool comme le chef, ou du moins c'est ce que j'imagine qu'il fait comme il a quitté la police suite à cette journée atroce. Je n'ai pas eu de nouvelles de lui. Mais je refusais de baisser les bras maintenant. Des gens qui volent des expériences, ça ne disparaît jamais indéfiniment. Peu importe le temps que cela me prendra, j’ai encore accès au central. Je vais pouvoir mener mon enquête. Et qui que vous soyez, je vous retrouverais. Vous prouvant que les forces de l’ordre ne plaisantent pas.

Thème(s):
-En repos
-Police Tesseha'llienne

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