Trop de bêtise pour un senior ! (avec Merlin) [Terminé]

Quel journée, ce genre de job est plus réservés aux hommes qui ont la carrure d'un ouvrier bossant dans le bâtiment et pour gagner sa croûte, la fière soldate de l'ancienne armée impériale Nippone n'a pas choisi l'emploi qui lui est appropriée avec un statut hiérarchique aussi important... Maudit soit cette ouragan de printemps qui l'a définitivement fait coincer dans ce continent magique ! Iori sait qu'un jour, elle trouvera le moyen de quitter cette terre perdue mais en attendant, l'éternité ne fait guère partie de sa situation actuelle, car voyez-vous, elle n'en demeure pas qu'une vulgaire humaine et qui a pour seul ennemi le Temps et pour vivre, il fallait qu'elle mange et vu qu'elle n'est non plus une voleuse a la tire, elle doit travailler voilà pourquoi, elle a choisie de devenir nettoyeuse de latrines. Elle officie actuellement a Stoneburry, un village miteux dont les habitants vivent toujours a l'époque des pionniers donc toute les corvées s'oeuvrent "manuellement a Sylvarant et non technologiquement avec des machines comme a Tesseha'lla, cela ne posa pas problème a Iori puisqu'elle adore se salir les mains. Un couple de retraités avait des problème d'évacuation d'eau dans leurs toilette personnels et furent trop âgés pour aller régler le problème... Bien que Iori ne fut pas spécialement équiper, elle avait besoin que d'une bêche ou d'une pelle pour creuser et par rapport a sa tenue, elle n'eut le choix une fois de plus que de se servir d'un ensemble de cuir rouge et noir, elle ajusta soigneusement ses gros seins sous le top écarlate en lissant un peu sa coiffure blonde, n'ayant pas encore des emplettes à la cité moderne, elle dut prendre en souliers des talons épais rouge vif de quinze centimètre, elle se les chaussa et partit bosser. Ce fut là un accoutrement inapproprié pour aller déboucher des canalisations mais si il n'y avait pas d'autre vêtement a porter, que pouvait-elle faire ? Rien évidemment ! Iori toqua dans l'après-midi, en voyant le ciel gris sombre, elle s'était dit qu'il ne pleuvrait pas mais la météo lui fit dire le contraire en faisant tomber de minuscule gouttelette d'eau qui devint de la bruine plus tard et après une pluie fine...





"La pluie ne facilite pas grandement la tâche malgré que les couches successif de fientes sont énorme, heureusement qu'à chaque pelleté, j'arrive a creuser encore profond sans trop de fatigue..."

La jeune femme continua son service, l'air fut un peu frisquet, l'odeur assez fétide et nauséabonde ! La fosse faisait près d'un mètre cinquante de fond, et en avançant dans cette gadoue dégoûtante et malodorante pour se frayer un passage jusqu'au mur, cela lui arriva au niveau de la taille et s'arrêta au niveau du ventre. Iori avait prit soin de faire avancer la charrette au niveau de l'ouverture et basculer le bord pour y recevoir les coups de pelletés dedans au fur et a mesure. Ne portant pas de masque, elle ne pouvait se retenir de vomir par moment et plutôt que de faire comme tous le monde en plaçant la main sur la bouche en redressant le corps droit, elle laissa ses tripes lui permettre de faire un peu de lavement organique (comme si elle recycla son corps humain, elle-même). Elle gerba en ouvrant seulement la bouche, et puis son problème d'estomac n'étant toujours pas médicalement résolue, elle ne se prena pas la tête dessus, son top de cuir rouge foncé fut un peu maculés par ses défections, elle n'avait pas le temps de se nettoyer puisque quand elle aura finit, elle ira prendre un bain afin de se laver intégralement plus tard. Voilà près d'une heure, qu'elle avait suffisamment remplie la charrette et bien qu'elle n'avait pas finir de vider la fosse, il fallait déjà déverser le contenue précédent autre part, elle s'avança pour monter sur l'échelle quand un bruit bizarre arriva de nulle part et la charrette qui fut bien arrimer a un arbre jusqu'à maintenant bascula tout d'un coup dans la fosse en y déversant toute les matière non organique qu'elle avait extirper tout a l'heure ! Elle se retrouva alors submergé de reste de fiente de la tête aux pieds ! Seule une main dépassa légèrement de terre et elle agita nerveusement les doigts pour tenter  d'en sortir.

Iori savait qu'un homme ne pouvait rester longtemps enfouie sous terre, il peut mourir en seulement trois minute si il n'est pas rapidement sauver car sinon, il risque de grave lésion cérébrale... Le cerveau humain ne représente que 5% du poids dans le corps mais il a besoin de 20% d'oxygène pour vivre. Iori ne voulait pas mourir ainsi, c'est vraiment trop bête ! Elle voulu s'en sortir par elle-même en tentant de se mouvoir de l'intérieur de son merdier mais il fut quasiment pas possible de bouger d'un centimètre, le tas de fumier s'est vu multiplier sa taille en centimètre en un poids de deux tonne pour un mètre quatre-vingt de haut. Iori crut que tout espoir fut alors perdue quand elle sentit un truc dure toucher le majeur et l'annulaire, une texture qui ressembla a celui d'un bâton ! Sans trop savoir par quelle prouesse, cela fut arriver, elle se dépêcha de l’agripper, le bâton remonta facilement sans trop de difficulté, la soldate put enfin respirer une bouffée d'air. Elle cru que ce fut les fermiers du coin qui sont venus l'aider mais a la place, elle tomba nez-à-nez avec un drôle de gaillard aux cheveux blanc et tout sourire.

Euh...

Elle ne sut pas quoi lui dire du premier coup, tant de question qui se mélangea dans sa tête, cependant, elle leva lentement la tête et crut que son heure fut venue, elle tenait la queue d'un reptile dans la main et le serpent menaçant qui d'aspect venimeux allait lui mordre le bras ou le visage, elle poussa un cri strident et lâcha prise par la même occasion ! Iori dans la confusion la plus totale retomba au pied du tas de fumier encore fumant, toute sa tenue en cuir en prit un sacré coup de sale ! Iori se releva en s'époussetant sa veste en cuir noir et rajustant la manche de l'épaule gauche, son teint se mit a rosir et elle vomit comme une fontaine après avoir eut un hoquet, elle s'essuya la bouche en se tournant vers le malotru qui lui avait fait une mauvaise blague avec un regard interrogateur. Elle mit ses mains sur ses hanches et redressa le haut-du-corps dans sa direction alors que des bouts de fiente infecte tomba au sol en glissant de ses formes généreuse.

Comme prévu la demoiselle retomba magnifiquement bien dans le fumier. Tu craquas un autre sourire avant de reculer en rigolant. Nan, tu ne devais pas rire, mais tu ne pouvais pas t’en empêcher. La blague était juste bien trop belle. Tu la regardas se relever en riant et en pinçant légèrement ton nez. L’odeur était peu supportable, mais bon, elle n’était pas invivable. Tu te tournas alors vers l’arbre laissant la femme vomir en paix. Après une telle expérience, c’était légèrement logique de vomir de la sorte, mais tu ne pensais pas qu’elle cachait une telle peur des  serpents… Ou alors c’est le fait de retomber dans la mélasse qui l’avait perturbé au point de vomir… Tu fixas un moment le chariot qui avait la même horrible odeur que le fond où trainait la femme. Oui, c’était évident, cette femme avait comme travaille le nettoyage des saletés des autres. Une tâche ingrate mais bon… Il fallait bien quelqu’un pour le faire. Ce qui t’intriguait était simplement … Pourquoi cette femme portait d’aussi beau vêtement de cuir pour aller s’occuper de ça ? Cette femme manquait peut-être de gout, ou alors elle était trop riche … Nan aucune chance. Tu regardas encore une fois cette demoiselle, cachant toujours ton regard sous ta capuche.

« Vous savez mademoiselle, vous avez beau me regarder furieusement d’en bas, je vais avoir du mal à vous écouter ou même vous regarder si vous trainez encore et toujours dans la mélasse. Vous n’avez quand même pas ce genre d’attirance étrange pour les … les rejets de vos compères ? »

Une question rhétorique qui te fit légèrement trembler tellement ça paraissait … étrange. Mais bien humain. Les humains étaient bien la seule race d’être vivant capable de profiter de ce genre de chose pour des raisons x ou y. Tu ne voulais pas savoir cela, ça ne pouvait pas faire une histoire intéressante. Tu fixas un moment le charriot avant de voir certaines parties bruler magiquement … Étrange, ton arrivé ici à donc dégagé de la mana concentré … À moins que ton arrivé à juste fait embrasser la mana environnante créant donc une source de chaleur assez forte pour bruler certaines parties du chariot… L’arbre aussi semblait avoir pris un coup de chaud, et l’écorce avait bien souffert.

« Désolé mon ami. » Dis-tu en tapotant l’arbre. Mais pourquoi tu t’excusais à l’arbre ? Tu ne savais même pas où tu étais, t’excuser à un arbre ne changera rien et Vivianne n’allait pas venir te tirer les oreilles. Tu te tournas à nouveau vers la demoiselle fumante. « Besoin d’aide encore ? Vous oserez affronter le serpent cette fois ?»

Iori vit que le gaillard prit un malin plaisir a se moquer d'elle, voilà qu'en plus elle devait l'écouter faire des railleries a son sujet et en plus de faire porter un jugement hâtif ! Ce type se prenait pour le mec le plus branché et le plus cool des environs ou bien, il se vantait d'être le meilleur du circuit ? Le vantardise, une des chose que miss Minase détesta et puis pas étonnant de se faire marcher dessus alors qu'elle même fut en-bas et lui en-haut, Iori avait une vilaine envie de lui faire plonger la tête dans ce tas de compost infect afin qu'il puisse trouver la réponse a sa question. Ce maigre temps lui permit de réfléchir posément malgré ce qui vient d'arriver, ce gus devait être un prestidigitateur pro ou un magicien avancé, il a jouer d'un tour d'illusion en trompant la soldate qui aurait pu avoir une crise cardiaque après un pareil vilain tour ! Elle lança un regard furibond tout en ne calculant même pas l'odeur qui lui haussa le cœur, une nouvelle relance remonta en vitesse de sa gorge, Iori appliqua justement fortement sa main sur sa bouche peu avant que la lèvre ne s'ouvre et se força a ravaler son contenue au fond de son estomac.

Venez donc près de moi pour le voir et je me ferais une joie de vous le dire jeune impertinent ! Vous avez oser saccager mon travail et vous trouvez cela drôle ?

Iori fut tellement hors d'elle qu'elle leva une jambe dont la belle couleur noir qui habilla le cuir fut souiller par le fumier qu'elle y replongea le talon épais a bout rond avec la manche Bootcut de son pantalon au fond du tas humide, rien ne put apaiser sa colère et joignant le geste à la parole, elle prit une bonne quantité spongieuse de la matière fécale provenant du bétail de la ferme et le lança en direction de son opposant comme avec une boule de neige durant la saison d'hiver dans la figure, qu'il découvre a son tour ce que fait que de se retrouver dans la mélasse comme il dit.

Alors comme ça le charmant "lune d'argent" veut blaguer ? La soldate ne le connu ni d'Eve et d'Adam, a part qu'il a empiéter sur les plates-bandes de la jeune fille, il allait a présent être servi et ça sera bien fait pour lui ! La première boulette de bouse l'atteignit bizarrement au visage, en tout cas facilement... Ce qui est curieux, c'est que ce bel homme pouvait l'éviter in extremis (la petiote savait déjà qu'elle fut assez nulle à l'école Nippone de viser une cible mouvante) alors que celui-ci se trouva qu'à moins d'une quinzaine de mètre, elle aurait du rater son coup. Iori le savait bien alors pourquoi ce type n'a pas bouger d'un centimètre pour se le prendre en pleine face ? L'a t-il fait exprès de l'encaisser ? Avant tout, il reste un homme et qu'est-ce qu'on dit sur Terre a propos des hommes, l'on dit que les mâles l'emportent sur le sexe faible. L'anonyme vient de renverser cette théorie en lui faisant prouver le contraire.

Oui effectivement, c'est même a mourir de rire si j'ose dire ! Et puis, personnellement, tu ne me l'as jamais apprise, alors montre-moi comment faire et j'apprendrais a mon tour, Hi hi hi hi hi...

Iori ricana a gorge déployée, finalement, c'est elle qui rit sur lui, mais elle ne voulait pas s'arrêter là vu que le premier coup, elle a réussi a lui faire manger une boule, elle n'a pas encore lâcher la grappe, de toute manière, elle ne risquait de se faire prendre en traître puisque elle se actuellement dans son environnement qui lui est propre, elle attrapa la pelle et souleva du mieux qu'elle pouvait une belle fraque maronnasse et l'envoya d'un bon coup d'épaule sur le drôle de hiboux hilarant qui l'a nargua depuis la colline ou il s'était percher en la prenant de haut.

La soldate avait visiblement réussit son coup, cependant en voyant la posture que prit l'énergumène, il est clair que quelque chose ne tourna pas rond chez lui, ou plutôt qu'il se sentit mal, brusquement la blonde eut comme un élan de compassion pour ce type mais rancunière comme elle est, elle préféra le laisser a son sort ! C'était bien mérité, a présent qu'il souffre a son tour, Iori se mit a rire de manière sadique alors que les traits de son visage devint dure et sévère. Elle garda la station debout en brandissant fièrement sa pelle derrière l'épaule droite avec la main gauche sur la hanche, tout en pataugeant toujours dans son lit fécale de bovins pour ne pas tomber encore. On ne va pas dire jusque là qu'elle commet des meurtres gratuits ou que cela lui procure un bien fou de voir une personne entrain d'agoniser sans lui venir en aide mais ce n'est pas plus comme si la boulette de bœuf fut acide ou empoisonnée, l'allemande fut d'ailleurs persuadée qu'il va s'en remettre.

Mon pauvre ami, comme tu dois en voir de toute les couleurs...Malheureusement, pour toi je ne suis pas médecin ! Hi hi hi hi hi hi hi hi hi....

La soldate fut intellectuel et qu'est-ce qui prouve que ce type rigolo ne joue pas la comédie et qu'il ne va pas lui rendre la monnaie de sa pièce et non, ça ne marchera pas deux fois, na ! Iori se mit a ricaner de nouveau de la situation qui fut a présent inverser quand elle manqua de s'étouffer, elle stoppa net et se toucha le ventre a travers le cuir salit de la veste noir et du top rouge, décidément, cette organe ne lui laissa pas un répit, elle reprit la pelle en la fichant bien dans le tas vaseux et le plaça au niveau de son abdomen et se laissa tomber de tous son poids sur le pommeau de la pelle. L'objet de bois vint déformer le cuir souillée du top rouge et la bouche de Iori s'ouvrit tout seul, elle ne chercha pas a lutter en contracter ses muscles abdominales pour y apposer une résistance mais se laissa volontairement vider l'estomac dont les déjections s'agglutinèrent avec les restes de son travail. Quand une forme bizarre de forme ovalaire vit le vit le jour sous terre en bougeant, elle crut qu'il s'agissait d'un tour de son imagination. A moins que ça ne devait qu'être une illusion, elle ne fit pas attention, elle agrippa pas fermement le bâton de la pelle et l'enfonça encore plus profondément pour être sure qu'il n'y avait rien au fond du gosier. Et a présent, c'est le cadavre d'une femme qui sortit en partie de terre, le corps partiellement en cours de décomposition, les yeux gris ou blanc, elle semblait lui tendre la main pour l’entraîner sous le sol humide. Iori fut paralyser par la terreur mais ne pouvant rien faire actuellement, sa bouche s'ouvrit comme un cloaque et y déversa la mixture sur le visage de mort du zombie, puis miss Minase releva difficilement la jambe devenue lourde avec les quantités improbables de défection de son pantalon Bootcut de cuir et l'écrasa d'un coup de talons comme si elle le faisait avec une cigarette en tournoyant le talon haut rouge devenue maronnasse en râlant d'agonie a son tour, elle se mit a ecarter les mains du bois de la pelle et les garda en l'air avec les yeux retourner en arrière et força son ventre a se vider du plus profond de son estomac en esperant faire disparaitre ces têtes zombifiés.

La morte-vivante sembla trouver Iori a son gout, elle sortit de terre fit tomber la pelle et se plaça derrière miss Minase, elle plongea sa main qui forma un creux dans le ventre de la blonde et perca le cuir, elle en sortit un intestin grêle et le mangea sous son nez alors que Iori se mit a vomir. La zombie palpa l'intérieure du ventre, la blonde se laissa faire